« Quelque soit l’âge quelques soient les difficultés »
Tout ce qui ne disparait pas avec le temps ou les efforts nécessite une intervention au niveau de l’inconscient.

  • un bébé qui pleure sans cesse, ou qui est grognon et dont l’origine des pleurs ne vient pas de gaz ou autre inconfort lié à l’immaturité physiologique.
  • un bébé ou un jeune enfant qui a des problèmes de sommeil
  • un bébé ou un petit enfant qui manifeste des difficultés en lien avec l’alimentation
  • un bébé ou un petit enfant qui manifeste une grande détresse dès que sa maman n’est plus là
  • un bébé ou un petit enfant très souvent malade, au-delà du ”normal”.
  • un bébé ou un petit enfant qui semble avoir des difficultés de développement psychomoteur
  • enfin, toute autre comportement qui ne va pas dans le sens ”normal” des choses.

Dans tous ces cas, le rôle du praticien D-Strece n’est en aucun cas de se substituer au médecin. Bien au contraire, il s’assurera d’ailleurs auprès des parents que toute cause médicale a été éliminée.

Son rôle est de rechercher quelles croyances-négatives inconscientes (oui, les bébés portent des croyances…) sont responsables du problème et de la supprimer. Cela doit en principe, résoudre la difficulté.

Remarque: Même lorsqu’une une raison médicale explique l’existence du problème, cela peut valoir la peine de faire un tipoul au nouveau-né.

En effet, le fait qu’il y ait un problème physiologique/physique à l’origine du symptôme, n’exclue pas pour autant qu’une croyance-négative soit en arrière-plan de cette réalité.

Au même titre que, D. préserve, lorsqu’une personne souffre d’une maladie grave, les examens médicaux prouvent bien que cette maladie existe. Mais cela n’empêche en rien que cette maladie soit la réponse, la conséquence d’une croyance inconsciente.

  • lorsqu’un enfant change de comportement (de façon prolongée) à l’arrivée d’un bébé
  • quand l’enfant manifeste des difficultés relationnelles au gan, ou dans un autre contexte
  • en cas de difficultés d’apprentissage, dès le plus jeune âge
  • retard important de langage
  • difficultés pour dormir ou manger
  • ou toute autre comportement laissant entrevoir un mal-être psycho-émotionnel.
  • difficultés d’apprentissage de la propreté (le plus souvent: l’enfant ne veut pas faire caca aux toilettes, et parfois, même pas dans sa couche)
  • tous les cas cités en (1).
  • Tous les cas évoqués plus haut
  • Des difficultés d’apprentissage (lecture, mathématiques)
  • Mal-être émotionnel ou relationnel
  • Hyperactivité, qui se révèle être souvent une conséquence de mal-être, et non pas un problème en soi
  • Problème de concentration
  • Manque de confiance en soi
  • Problème de surpoids
  • Et tout ce qui va à l’encontre du développement du plein-potentiel de l’enfant

Dans tous ces cas, le rôle du praticien D-Strece sera de rechercher quelles croyances négatives inconscientes sont responsables du problème et de les supprimer. Cela doit, en principe, résoudre la difficulté.

Remarque: Attention de ne pas justifier le caractère inéluctable d’une maladie, sous prétexte qu’il y a des preuves tangibles à son existence (échographie, IRM, scanner, radio etc…). Lorsqu’on est face à une maladie qui peut mettre à mal le processus vital, ou bien encore des petits maux, mais répétitifs (infection ORL…), ce déséquilibre de la santé est une réponse à un conflit, à un problème inconscient. Mettre à jour le conflit responsable du problème de santé favorise grandement les chances de guérison.

Autre Remarque: attention aux étiquettes qui fixent les choses, les états comme un fait bien établi, irréversible: ”enfant turbulent”, ”personne coléreuse” ”dyslexique”, ”enfant pas fait pour l’école”, ”pas sportif”, ”hyperactif”:
Autant d’étiquettes qui tentent de justifier des comportements figés, ce qui n’ est nullement le cas. En identifiant et désinstallant les stress et fausses-croyances qui entretiennent ces états, et en faisant prendre conscience à l’enfant ou à l’adulte du cercle vicieux qui a abouti à une telle situation, les choses peuvent évoluer très positivement.

Si jusqu’à cet âge, l’enfant n’a pas eu l’occasion de faire de tipouls D-Strece, il est fort judicieux de lui offrir maintenant quelques séances (de deux à quatre, environ, en fonction de ce qu’il porte).Pourquoi est-ce si judicieux ? Parce qu’à partir de cet âge là, rares sont les cas où de nouvelles fausses croyances ne s’installent (puisqu’il a désormais une capacité de raisonnement et d’élaboration assez puissante pour ne pas tirer de fausses conclusions des situations qu’il vit).. Donc, une fois le cerveau débarrassé des croyances inconscientes erronées qui se sont mises en place pendant son enfance, il pourra exprimer le plein potentiel de son Essence. Dans le cas contraire, si il reste avec toutes les fausses croyances enregistrées, sa vie en sera d’autant entravée, limitée dans son expansion.

Ce n’est pas le moment le plus propice pour les tipouls. sauf si l’adolescent en fait la demande lui-même, ou répond positivement à une proposition de ses parents.

Non pas que techniquement cela pose un problème (la technique est en soi très fiable et très fonctionnelle) mais avoir un ado bougon en séance n’est pas très porteur.

Par contre, lui offrir des tipouls avant la crise d’adolescence, permettra que ce passage se fasse plus en douceur”.

  • Toutes sortes de phobies
  • Blocages émotionnels
  • Difficultés professionnelles récurrentes
  • Vie amoureuse inexistante ou compliquée
  • Difficultés dans le couple
  • Problèmes de fértilité
  • Vie sociale entravée
  • Maladies
  • Dépression /Burn out (si possible, réagir avant, aux premiers signes d’alerte…)
  • Image de soi défaillante/manque de confiance en soi
  • Rapport négatif à la vie ou/et à l’argent
  • … tout ce qui empêche d’être heureux, soi-même, d’exprimer son Essence.