Nos croyances, notre logiciel interne

A. NOTRE VIE EST À L’IMAGE DE NOS CROYANCES INCONSCIENTES

1. Bien qu’inconscientes, ce sont elles qui nous dirigent, qui entretiennent :

  • l’image et la valeur que nous avons de nous-même
  • ce que nous sommes capables ou incapable de faire
  • ce que nous croyons que les autres pensent de nous
  • ce que nous pensons des autres
  • ce que nous pensons de la vie, du monde …

Mais aussi:

  • notre rapport au corps, au poids
  • à l’amour
  • aux relations intimes
  • notre santé, nos maladies
  • nos réactions émotionnelles
  • notre rapport à l’alimentation
  • notre rapport à l’argent
  • notre rapport à l’autorité, au pouvoir, à l’obéissance
  • notre rapport au sport

Et encore …

  • Tout ce qui ne va pas dans le sens de la vie, du plein potentiel !

2. La qualité de notre vie est directement liée aux croyances importantes que nous portons. 

Le concret, que ce soient les événements de notre vie, nos possessions matérielles, notre travail, notre famille, nos relations mais aussi ce qui se passe dans notre corps physique est en lien direct avec ce qui a été enregistré dans notre subconscient, notamment ce que j’ai nommé les croyances ”fatalistes”.

(Les lois de l’invisible, de l’énergie, sont encore peu connues du grand public. Pourtant ces lois existent réellement. Cela se passe plus ou moins comme si nous irradions nos croyances et l’univers nous les renvoie matérialisées).

B. MIEUX CONNAITRE CES CROYANCES INCONSCIENTES

1. Florilège de fausses croyances très fréquentes :

  • La vie est dangereuse
  • Je mérite d’être rejeté
  • Je suis une vicitime
  • Je suis bête
  • Je n’ai pas le droit d’être heureux
  • Les bonnes choses ne peuvent pas durer
  • Je dois souffrir
  • Je n’ai pas en moi les ressources nécessaires pour …
  • Je ne suis pas capable de …
  • Etre malade est la seule façon de se reposer
  • Etc

2. Elles sont d’une force, d’une puissance inimaginables.

On peut comparer la puissance de ces croyances inconscientes à la hauteur de la Tour Eiffel, alors que celle de nos pensées conscientes se limite à la hauteur d’un bonhomme playmobile !

Pour notre inconscient, ces fausses croyances sont  »vérité absolue. » Tous nos comportements, notre rapport à nous-même, aux autres, à la vie, à la santé, à l’apprentissage,  sont déterminés par elles.

3. Ces croyances négatives restent actives toute au long de notre vie, avec la même puissance

Dans le subconscient, aucune notion de temps. Tout est au présent.
Une croyance installée à la naissance, ou même une croyance enregistrée lors ”d’une autre vie” a autant de force et d’impact qu’une croyance installée à 8-9 ans .
En un mot, toutes nos croyances négatives inconscientes sont en permanence présentes et actives !
Tant que nous ne les démasquons pas, ne les annulons pas, elles continuent ce que j’appelle ”leur travail de sape”, partout et toujours !

C. D’OÙ NOUS VIENNENT CES fAUSSES CROYANCES INCONSCIENTES

1. De l’enfance

A. Le cerveau de l’enfant, de 0 à 6 ans, fonctionne essentiellement en mode ”hypnotique”.

De O à 2 ans, les ondes cérébrales sont essentiellement des ondes delta, à savoir des ondes très lentes.
De 2 à 6 ans, ces ondes s’accélèrent un peu, mais restent malgré tout très basses (ondes théta).
Ces fréquences ondulatoires sont celles auxquelles on amène une personne que l’on veut hypnotiser.

Ainsi, le cerveau de l’enfant dans ses toutes premières années est naturellement très programmable et se charge de tout ce qu’il perçoit, même si les choses ne sont pas explicitées clairement.

Ainsi il intériorise ce que son environnement pense de lui, du monde.
Il absorbe aussi les modèles de fonctionnement qui l’entourent : ceux du couple parental, des liens dans la fratrie, des relations inter-personnelles…

Toutes ces informations acquises par ”simple absorption”, par simple immersion, constituent pour lui des vérités absolues, des données de sa programmation subconsciente. Il en sera ainsi jusqu’au jour où, lors d’un tipoul, elles seront révélées… puis supprimées.

  (Après six ans, au fur et à mesure que l’enfant grandit,  les ondes cérébrales s’accélèrent, et l’enfant devient peu à peu de moins en moins suggestible.

B. Pendant la petite enfance, l’enfant a une capacité de raisonnement, d’élaboration, extrêmement faible entraînant des conclusions hâtives et erronées

Le cerveau du nourrisson et du jeune enfant est totalement immature. Plus tard, il pourra élaborer des raisonnements puissants, faire des abstractions. Mais pour l’heure, on pourrait dire, un peu trivialement, que l’immaturité du cerveau ne permet pas à l’enfant de ”voir plus loin que le bout de son nez”.

Pour mieux comprendre, comparons deux situations similaires vécues à deux âges très différents.

  • Un enfant de 15 ans rentre tout content à la maison avec une bonne note qu’il s’empresse de vouloir montrer à sa maman. Mais à son arrivée à la maison, sa maman est absorbée dans une tâche importante et ne manifeste alors que peu d’intérêt à la bonne note de son fils. Le jeune est un peu déçu mais sans plus. Il comprend que ce n’est pas le bon moment et décide de reparler à sa maman à un moment plus opportun. En aucun cas, il ne tire une conclusion quant à l’amour ou l’intérêt que sa maman lui porte.

(Mais si par contre il portait déjà en lui, une croyance précédemment installée, style ”Je mérite d’être rejeté” ou ”Ma maman ne m’aime pas” non seulement l’attitude ponctuelle de sa mère renforcerait sa certitude, mais pire que cela : ce jeune choisirait inconsciemment d’aller parler de sa note précisément au moment où sa maman n’est pas disponible!)

  • Il en va tout autrement pour un jeune enfant.

Une fillette de 3 ans court fièrement à la sortie de l’école pour montrer à sa maman le beau dessin qu’elle lui a dessiné. Mais sa maman est absorbée dans une discussion avec une amie et ne réagit pas quand sa fille lui tend son magnifique dessin.

Si cette situation (ou des équivalentes) se reproduit plusieurs fois et engendre des émotions fortes (tristesse, frustration, colère …) chez la fillette, la croyance ” Je ne suis pas une personne de grande importance” (ma maman ne fait pas cas de moi) a de grande chance de s’installer dans son subconscient, et cela, définitivement (jusqu’au tipoul, du moins).

2. De nos vies antérieures

3. De nos aïeux

4. De l’inconscient collectif

D. CES FAUSSES CROYANCES PEUVENT IMPACTER TOUS LES ASPECTS DE LA PERSONNALITÉ

Pour le cerveau, toutes les croyances négatives inconscientes sont vérité absolue et ne sont jamais remises en cause.

Elles sont ”le programme” à partir duquel la personne prend ses décisions (inconsciemment, car elle ne sait pas qu’elle porte de telles croyances)*.

1. Les croyances sur sa propre valeur (faible) et la supériorité des autres

”Je ne vaux pas grand-chose”, ”Les autres sont supérieurs à moi ”…, ” je ne suis pas à la hauteur”, ” je ne suis pas capable” …

Autant de croyances qui empêchent la personne de se sentir à l’aise face aux autres.

Timidité, peu de revendications pour soi-même, faible réalisation de soi, aussi bien personnelle que professionnelle, sont entre autre les conséquences de telles croyances.

*Trop peu de gens savent qu’il existe des principes, des lois physiques qui engendrent que  »Ma vie est telle qu’elle est aujourd’hui ».

Quand on a connaissance de ces lois, on sait qu’il n’y a pas de fatalité et que notre vie change parallèlement à la suppression des fausses croyances négatives que l’on porte, sur nous, sur les autres, sur le monde.

2. Les croyances sur la nature de l’amour que les autres nous-portent

Beaucoup d’enfants sont arrivés à la conclusion et ont intégré, à leur insu la croyance ”Les gens m’aiment pour ce que je fais” (et non ”pour ce que je suis”, comme cela devrait être …).

Cette croyance, qu’ils porteront toute leur vie, participera à ce qu’adultes, ils soient essentiellement dans le ”faire” et non dans ”l’être”. Ce sont ces personnes qui ne s’arrêtent jamais, qui rendent service à la terre entière, au dépend de leurs propres besoins. L’essentiel étant de faire, pour être aimé.

Et ce ”faire beaucoup et à tous prix” a de grande chance de les mener un jour au burn-out car trop de stress ou à la dépression, car trop de besoins de base négligés, aussi bien physiologiques, que psychologiques, émotionnels ou spirituels.

3. Les croyances d’illégitimité et de culpabilité : ”Je n’ai pas le droit …” ”C’est de ma faute, donc je ne mérite pas”

Plusieurs événements peuvent mener à une telle conclusion.

Mais souvent, elle résulte du fait que le bébé s’est développé (dans le ventre de sa maman) alors qu’un autre œuf qui était présent avec lui, ne s’est pas développé.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, le bébé a la conscience (puis l’inconscience) que non seulement lui a survécu, mais qu’en plus, il est coupable de la mort de l’autre ”enfant”.

Une telle croyance peut entraver une vie entière, empêchant l’enfant de grandir sereinement, dans ses ”pleins droits”, puis l’adulte, qui ne prendra jamais pleinement sa place dans la vie.

Ce seront alors des vies personnelles chaotiques, des vies professionnelles fades… avec en toile de fond inconsciente ” Pourquoi aurais-je le droit de vivre, d’être heureux, alors que l’autre n’est pas, et que j’en suis responsable”.

Mêmes schémas et conséquences lorsqu’un enfant arrive après une fausse-couche, ou bien après un enfant mort-né, ou encore un jumeau qui vit alors que l’autre non.

4. Les croyances phobiques : partout où le cerveau de survie a enregistré un danger

Ce sont alors des situations ou des états à fuir à tout prix. Et le cerveau fera tout pour éviter de se retrouver face à l’ ”état phobique”.

  • ”C’est dangereux d’être enfermé”, ”d’être dans la foule”, par exemple, menant alors à la claustrophobie ou agoraphobie
  • ”Les araignées, les cafards, les souris sont dangereux”.

Ici, il est intéressant de noter que le danger ressenti par le cerveau vient plus d’une signification symbolique (le subconscient collectif) que le danger réellement représenté par une araignée (occidentale…), une souri ou un cafard.

  • ”C’est dangereux d’être mince” parce que l’enfant aura vu une personne maigre avant sa mort, ou bien parce qu’elle aura été attouchée (ou pire) enfant, et aura conclu qu’en étant grosse, on a moins de chance d’attirer les hommes, ou pour toute autre fausse interprétation.

Quelqu’en soit l’origine, avoir enregistré dans son subconscient qu’ ”être mince c’est dangereux”, aura pour effet que toute la vie, le cerveau mettra en œuvre tout son possible pour que la personne reste en surpoids. Et il y parviendra, tant est puissant le subconscient.

Et si par bonheur, au coût d’un effort infini la personne arrive à mincir, la joie ne sera que de courte durée, car le cerveau s’emploiera à la ramener à un état de surpoids, pour éviter le ”danger d’être mince” (d’ où le yoyo que connaissent trop bien trop de femmes, mais des hommes aussi).

5. Les croyances fatalistes : qui par la loi universelle de Cause à effet vont créer une réalité miroir de ces croyances.

  • ”je suis une victime”
  • ”la vie est difficile”
  • “toutes les bonnes choses finissent un jour”
  • ”je ne mérite pas d’être heureux”
  • ”Je ne serai jamais riche”
  • ”je ne peux pas être en bonne santé”
  • ”je mourrai tôt comme mon père”
  • “j’ai le cœur fragile comme mon père”

Ces croyances enregistrées dans notre subconscient sont quasiment des prophéties. En effet, selon la loi de Cause à effet, si nous les laissons en place, elles ont toutes les chances de se réaliser.

E. COMBIEN DE VIES ENTRAVEES, DE BLOCAGES, DE PHOBIES, DE MALADIES PEUT-ON EVITER EN SUPPRIMANT CES FAUSSES CROYANCES !

1. Une personne peut porter des croyances négatives qui entraveront sa vie dans un domaine ou dans un autre, même s’il a grandi dans un environnement aimant et sécurisant.

2. En cas de drame, les conséquences peuvent être très fortement diminuées

Un décès, une agression physique, un viol, des attouchements…

Un drame reste un drame.

Voici un échantillon des fausses-croyances qui pourraient s’installer lors d’un drame et qu’il est essentiel de supprimer rapidement :

  • toutes les bonnes choses finissent un jour
  • je suis une victime
  • je ne mérite pas d’être aimé
  • je fais mal les choses
  • j’attire des choses négatives dans ma vie
  • je ne peux pas subvenir à mes propres besoins
  • je ne suis pas heureuse d’être une fille
  • je ne suis pas heureux d’être en vie… ⁣/li>
  • La vie est dangereuse
  • e mérite de souffrir⁣/li>

permettra d’éviter de très nombreux effets induits.

Ainsi, cette personne pourra reprendre le cours de sa vie, rechargée d’optimisme et de confiance en-soi.

Par contre, il est essentiel de comprendre qu’identifier et supprimer les fausses-croyances qui se sont installées consécutivement à l’événement dramatique réduira très significativement les conséquences néfastes.

Certes, l’événement restera en mémoire, mais les répercussions seront largement limitées.

Comme vous l’aurez sans-doute compris, grandir dans un milieu favorable ne protège pas de la présence de fausses croyances dans notre inconscient.
En effet, nous avons vu l’origine des fausses croyances et il est aisé de comprendre que :

  • ni les fausses-conclusions dues au cerveau immature du petit-enfant
  • ni celles que l’âme a gardées en mémoire des vies antérieures de la personnelle
  • ni celles héritées des générations précédentes

n’ont à voir avec la bienveillance, l’amour, un foyer sécure ou les compétences parentales dont l’enfant à bénéficier.

Personne n’est à l’abri de porter ces croyances entravantes et lorsque la réalité d’un enfant n’est pas fluide, quel que soit le domaine, vérifier précocement les fausses croyances qu’il porte et les supprimer est le plus cadeau que l’on puisse lui faire.

Ce serait tellement navrant que ce même enfant débarque trente ou quarante ans plus tard chez un praticien d-Strece qui découvrirait alors ces fausses croyances qui ont empoisonné la vie de cette personne depuis tant d’années !

Laisser en place ces croyances erronées inconscientes est un passeport direct pour une vie de galères, une vie étriquée, quand ce n’est pas une vie de souffrance.

Les supprimer précocement est un passeport pour vie épanouie et efficiente.

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Laurence Bernheim

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